L’Oms et l’Unicef appellent à des efforts immédiats pour vacciner tous les enfants alors que de nouvelles données montrent qu’avant la pandémie de Covid-19, la couverture vaccinale a plafonné à 85 % pendant près d’une décennie, privant de vaccins 14 millions de nourrissons chaque année.
Le ministre de la Santé, Benjamin Hounkpatin, était sur les plateaux de télé dimanche 5 juillet dernier. Face aux journalistes Koudous Abdoulaye de la Télévision nationale et Zakiath Latoundji de Canal 3 Bénin, il a fait le point de la situation épidémiologique liée à la Covid-19 dans le pays. Portant sur le thème « Covid-19 au Bénin: où en sommes-nous!», aucun aspect de la gestion de cette crise sanitaire n’a été occulté à l’occasion.
Le point de la situation de la maladie à coronavirus, la gestion de la riposte au plan national et la gestion des cas de décès. Ce sont là les points forts d’un entretien du ministre de la Santé, dimanche 5 juillet dernier, sur la Télévision nationale. Benjamin
Hounkpatin, sans langue de bois, a procédé à un état des lieux de la situation épidémiologique, rassuré de l’engagement du gouvernement à prendre les meilleures décisions et invité la population au respect strict des gestes barrières.
La maladie à coronavirus continue de faire des ravages au Bénin. Déjà 1187 cas confirmés et 19 décès à la date du 28 juin 2020. Selon Kamel Lafia, cardiologue et spécialiste de l’hypertension artérielle, les personnes hypertendues ou souffrant d’autres maladies chroniques ont un risque accru de développer des formes graves de Covid-19 si elles venaient à être contaminées. Raison pour laquelle elles doivent, plus que les autres, respecter les mesures barrières, bien suivre leur traitement et signaler le moindre problème à leur médecin traitant.
Comme il est de coutume, les directeurs départementaux des ministères sectoriels se sont réunis, hier mercredi 17 juin, à Djougou. C’est sous la présidence des préfets de l’Atacora et de la Donga. Le point de la situation sanitaire liée au Covid-19 a été fait dans le département de la Donga.
Qu’elle disparaisse de notre environnement ou qu’elle dure dans le temps, la maladie causée par le nouveau coronavirus a engendré beaucoup de bouleversements dans la société. De nouvelles pratiques sont observées un peu partout pour limiter la propagation du virus. Au nombre desdites pratiques, il y en a qui méritent d’être maintenues, même après le Covid 19, pour réduire l’impact des maladies infectieuses sur la santé des populations.
Le monde du travail est profondément touché par la pandémie du coronavirus. Outre le péril que cela représente pour la santé publique, les bouleversements économiques et sociaux menacent les moyens de subsistance et le bien-être à long terme de millions d’individus. L’Organisation Internationale du Travail (Oit) et ses mandants – gouvernements, employeurs et travailleurs – joueront un rôle primordial dans la lutte contre la pandémie en garantissant la sécurité des personnes ainsi que la viabilité des entreprises et des emplois. A ce propos, le Directeur général de l’Organisation internationale du Travail (Oit) répond aux questions de Catherine Fiankan-Bokonga pour La Nation.
Le Conseil des ministres du mercredi 27 mai a approuvé un nouveau cadre de souscription des polices d’assurance maladie au profit du personnel des structures de l’Etat. Ce cadre vise à favoriser une meilleure gestion des relations entre l’Etat et les assureurs de ses agents.
Dr Sylvie Briand, directrice du Département de préparation aux risques infectieux mondiaux de l’Organisation mondiale de la Santé, répond ici aux questions de Maryn McKenna, journaliste et auteure indépendante spécialisée en santé publique, responsable du Knight center for Journalism in the Americas et membre du Center for the Study of Human Health de l’Université Emory, par ailleurs instructrice principale du programme de formation ‘’Couvrir le COVID-19 maintenant et à l’avenir’’ qui mobilise plus de 150 pays.
Selon les chiffres publiés sur le site du gouvernement, le Bénin enregistre à la date du 23 mai 2020 un total de 191 cas confirmés soit 106 personnes sous traitement, 82 personnes guéries et trois décès. Ainsi, quatre nouveaux cas positifs ont été enregistrés du 22 au 23 mai dernier faisant alors grimper le nombre de personnes contaminées de 187 à 191.
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